mercredi, mars 29, 2006

 
XV
Références bibliographiques Internet commentées



L’auteur et éditeur ne peut assumer aucune responsabilité éditoriale quant aux liens qui sont proposés sur les pages de référence, n’en contrôlant pas les contenus, ni n’en connaissant les arrière-plans éthiques ou organisationnels. Ces liens sont simplement indiqués à titre informatif, en laissant à chaque lecteur le soin d’exercer le discernement nécessaire. Le fait qu’un lien soit inclus ne signifie pas que le webmestre ait une sympathie ou un accord de pensée concernant le contenu du site vers lequel une Url pointe.
Je remercie Sa., Sé., Th., Mi., Ro.,Te. et tous ceux, comme toutes celles qui m’ont apporté ces idées de liens utiles.

Si sur une version PDF de ce livre, par exemple, certains liens ne s’ouvraient pas correctement dans le présent chapitre, on peut accéder à ces mêmes ressources à partir de leur version « site Web » où ils ont été publiés la première fois, en allant à la page « liens bouddhisme » de http://bouddhismes.info/

Wikipedia
Il faut bien commencer par ces liens dans cette rubrique consacrée aux ressources ! :
L’article de l'encyclopédie collaborative Wikipedia sur le bouddhisme.

L'histoire du bouddhisme est présentée dans une page à part contenue dans cet article de Wikipedia.

Un lien intéressant de Wikipedia concernant les sectes :http://fr.wikipedia.org/wiki/Secte
J'ai trouvé intéressants les quelques critères proposés par la notice de l'encyclopédie collaborative pour définir la notion controversée de "secte" :"Voici quelques critères :manipulation mentale des adeptes ; centralisation du pouvoir aux mains d'une personne avec autorité charismatique, par exemple un gourou, ou d'un cercle restreint ; organisation pyramidale ; extorsion de fonds ; incontestabilité de la doctrine. En outre, certains y ajoutent d'autres critères, peut-être moins répandus :contrôle du milieu : tentative de contrôle des sources d'information et des interactions sociales externes des membres, encouragements à arrêter les relations avec toute personne externe ; infaillibilité et doctrine sacrée : présentation des idées du groupement comme l'unique vérité et le seul accès au salut, dissuasion de toute réflexion critique sur la doctrine ; mysticisme : rapprochements entre des événements et des causes surnaturelles ; pureté : référence à un idéal inatteignable qui réglemente les actes des membres en les amenant à toujours plus d'effort ; autoritarisme : pouvoir fort du gourou et culte de la personnalité ; doctrine secrète (ésotérisme) : enseignements secrets dont la divulgation au monde extérieur est strictement interdite ; élitisme (ésotérisme) : mise en valeur des membres comme supérieurs ; brimades et/ou confession forcée en cas de violation des règles établies ; bannissement : interdiction de tout contact avec des anciens adeptes (concept semblable à l'excommunication). "

De nombreux liens permettent de définir les notions. L'ensemble est concis et clair.


Le capitaine Haddock au Tibet
LA page "Tintin au Tibet" de Daniel Weyl, et les onomatopées du Capitaine Haddock que Th. nous a fait découvrir.http://perso.wanadoo.fr/daniel.weyl/Daniel/HADDOCK.htmMille sabords le lien renvoie vers une analyse amusante et indispensable de la linguistique du capitaine Haddock ou L'ABOMINABLE HADDOCK AU TIBET par Daniel Weyl !Extrait : "Le "POOAA" sacrilège de la trompe cérémonielle embouchée par curiosité infantile (p. 61). En revanche, le capitaine est incapable d'émettre le moindre son d'alarme lorsque l'arrivée du Yéti échappe par négligence à sa vigilance (p. 56). Mais, retournement redoublé, le yéti surpris par le " POOOT " fracassant du même se mouchant est pris de panique (p. 60). L'infantilité est donc inséparable du traitement primitif des sons qui lui confère une sorte de caution métaphorique. "

Les sites de la critique positive
Vous pouvez explorer à votre convenance ces quelques sites, dont certains comportent des forums (american-buddha) ou sont fréquemment actualisés :http://www.trimondi.de/ ce site en allemand et en anglais comporte des traductions de plus en plus nombreuses en français. Nous vous conseillons de prendre votre temps pour découvrir ce portail. Voici par exemple une page du site (anglais) consacrée à June Campbell la traductrice de Kalou rinpoché.Le livre le plus connu des époux Trimondi est disponible en ligne en texte intégral : the shadow of the dalai lama (en allemand et en anglais). Plusieurs chapitres de ce livre sont désormais traduits en français sur leur site. Nous en avons fait une brève note de lecture en français (avec quelques liens utiles) à cette adresse : http://notes-de-lecture.blogspot.com/.http://www.flameout.org/flameout/gurus/ (un site de référence en anglais sur les dérapages des gourous et maîtres à penser, y compris dans le tantrisme bouddhique...)http://www.american-buddha.com/site.map.htm#SITE%20MAP (en anglais) Attention : il faut désormais s'identifier (s'inscrire en indiquant un email et un mot de passe) pour accéder aux contenus en ligne.http://www.bouddha.ch/ (un très intéressant site francophone d'un moine zen suisse, sans langue de bois)

http://encyclopedie-du-bouddhisme-1.blogspot.com/ (un essai autographe écrit récemment sur ces questions, texte intégral en ligne, en français, la version PDF peut également être téléchargée partir de ce lien.)

« Charismatic gurus »
(En anglais) L’éditeur de ce lien est Derek Bishop l’auteur d’un site bien connu dédié à l’expérience de la kundalini le « singing mountain website » http://singingmountain.org/y2005mar26a.html. Auparavant basé à Hawaii, et maintenant installé dans la région de Los Angeles, Derek est un webmestre sympathique et cultivé qui au quotidien exerce la profession d’enseignant spécialisé auprès de personnes handicapées. Il prévient ici chacun des déconvenues en relation avec des gourous abusifs et invite chacun à privilégier l’expérience personnelle. Selon lui l’intercession d’un maître n’est pas indispensable à l’expérience de Kundalini. On peut lui écrire en anglais à son e mail indiqué sur le site. Il n'est pas un expert du bouddhisme, mais s'intéresse aux phénomènes spontanés de Kundalini.
[Notons que si Kundalini fait référence à un concept issu des yogas hindous, ce terme existe aussi dans le tantrisme bouddhique sous le nom de kandali (yoga de kandali souvent traduit par tumo yoga, sans que l’on sache si cette traduction est parfaitement appropriée) pratique dite aussi « de la chaleur interne » qui fait partie intégrante des yogas de Naropa de la tradition Kagyupa.]
http://singingmountain.org/y2005mar26a.html


« Stripping the gurus »
(En anglais) Un désormais classique site de critique des "gourous". Aux Etats-Unis la liberté de culte fait qu’il est difficile d’élaborer des stratégies visant à contenir le développement des phénomènes sectaires. En revanche des webmestres ne se gênent pas pour pourfendre les dérives individuelles des maîtres abusifs. Ce site est sans doute d’un style un peu trop concis pour explorer attentivement les sujets proposés, il lance cependant des provocations à la réflexion. Plusieurs pages dans ce site concernent des dérives éventuelles du bouddhisme :
http://www.strippingthegurus.com/index.html#stgtoc

Des livres ressources en téléchargement gratuit :
Pour répondre à la demande de plusieurs visiteurs, voici à nouveau le lien à partir duquel peuvent être lus en ligne (html) et téléchargés (pdf) pour être lus hors connexion les quelques ouvrages récents (ainsi qu'un long article) commis par l’auteur du présent ouvrage [Marc Bosche] autour de ces sujets :

Accéder à la plateforme de téléchargement des livres (html et pdf)
Etant l'ayant droit de ces textes, et ayant conservé l'entièreté des droits d'auteur, je permets à chacun de les lire, de les copier pour l'étude, la consultation personnelle et l'usage non commercial.Il y a également dans cette sélection deux romans, à lire donc pour le divertissement plus que pour l'étude !
On peut contacter l’auteur directement à sa boîte aux lettres.


L’ombre du plus grand
Après avoir signé leur grand livre the shadow of the dalai lama déjà présenté par un lien au début de ce fil de discussion, Victor et Victoria Trimondi ont poursuivi leur investigation avec un courage certain en publiant un nouvel ouvrage Hitler, Buddha, Krishna, Une alliance funeste, du Troisième Reich à aujourd´hui dont le titre est déjà en soi provocation à la réflexion ! Cet ouvrage éveille naturellement beaucoup d'intérêt en Allemagne. En France il sera sans doute accueilli très fraîchement par les milieux du bouddhisme himalayen. L'ouvrage n'est pas traduit en anglais ni en français, mais des éléments en sont déjà disponibles, dont cette présentation (cliquer sur le lien) sur leur intéressant site.Sans avoir eu encore la possibilité de lire l'ouvrage, j'ai déjà eu l'occasion de partager avec l'un de ses deux infatigables auteurs, ma première impression (je devrais dire ma première réaction) inévitablement superficielle : il me semble qu'il y a un risque de syllogisme, ou de raisonnement syllogistique, dans la démarche qui consiste à dénoncer peu ou prou l'association historique des référentiels du national socialisme et du tantrisme bouddhique. Bien que je ne connaisse pas précisément ces sujets, j'ai pu exprimer aux auteurs (qui eux les connaissent très bien) ma réserve à ce sujet : les amis du Tibet, les défenseurs du bouddhisme tibétain aujourd'hui et les pratiquants de ce dernier sont le plus souvent des personnes aux convictions sociales et humanitaires affirmées. Il serait donc paradoxal de présenter exclusivement le tantrisme bouddhique comme une idéologie guerrière et dominatrice, même si certains aspects plus discrets ou secrets posent question en effet. Cependant compte tenu de l'ampleur de la recherche menée par les auteurs, ils méritent d'être lus avec attention, le travail historique qu'ils ont fait impose le respect. Et le fait qu'ils bravent sans complexe la pensée molle et consensuelle selon laquelle le tantrisme himalayen est toujours du côté de la "positive attitude" n'est pas le moindre de leurs mérites.En découvrant cette page de présentation le lecteur aura sans doute à faire la part des choses et remettre à leur juste place les éléments présentés (en particulier en songeant que plus de 60 ans ont passé). Il me semble que même si les auteurs ne parviennent pas tout à fait à nous faire partager leur conviction, ils nous rappellent des faits historiques qui méritaient en effet de ne pas être oubliés et d'être ainsi précisés au nom du devoir de mémoire.La réserve qui est mienne est qu'une religion peut être interprétée de diverses manières, de la plus humaniste à la plus fondamentaliste, de la plus pacifique à la plus guerrière. Nous le savions déjà avec le christianisme : chaque religion est plurielle. Que des personnages sinistres comme Himmler aient adhéré à leurs manières à la vision eschatologique du tantrisme himalayen ne dit rien, ou presque rien, sur les sympathisants actuels de ces traditions. Nous ne pouvons pas les mettre dans le même panier sans effectuer un amalgame ou leur appliquer un stéréotype. Ce serait injuste.Cependant, ces précautions oratoires ayant été prises, l'avertissement de Victor et Victoria Trimondi mérite d'être écouté, sans doute d'abord par les adeptes de ces traditions himalayennes adaptées à l'Occident, de manière à s'assurer que l'Histoire ne se répétera pas, et d'éviter à l'avenir que se reproduisent des dérapages tragiques.En cela la contribution cruciale des auteurs nécessitait bien un lien sur cette page ressources. Leurs opinions leur appartiennent en propre et ne reflètent donc pas nécessairement les nôtres. A chacun de se faire la sienne.Pour les internautes qui lisent l'anglais, cette autre page de présentation sur le site des auteurs donne davantage de détails. Enfin un chapitre du shadow of the dalai lama était déjà consacré (toujours en anglais) à la délicate question des éventuelles "relations" (mais quel sens donner à ces termes entre guillemets ?) de sa sainteté le dalaï lama avec quelques ténors de "l'extrême droite".En France, s'il est un jour traduit, le nouveau livre des époux Trimondi pourrait faire l'effet d'un électrochoc comparable à celui qu'a été la publication de the shadow of the dalai lama en anglais. Déjà plusieurs chapitres (et d'autres articles) sont disponibles (depuis peu) en français à ce lien :
http://www.trimondi.de/francais/articles.fr..htm
On peut encourager chacun à les lire attentivement, car ils sont très documentés.
L'ouvrage en allemand comporte un chapitre sur les faits de collaboration graves pendant la période 1941-1944 reprochés à un ancien érudit français, scénariste de film et écrivain spécialiste du tantrisme hindou, de l'ésotérisme et du bouddhisme tantrique : Jean Marquès-Rivière. Ce dernier est notamment l'auteur du désormais classique ouvrage : A L'OMBRE DES MONASTERES THIBETAINS, [Orient Editions Victor Attinger, PARIS 1929, avec photo "Assemblée de Lamas à Chang Hou", 189 pages]. Ne connaissant pas ces faits nous ne pouvons bien entendu confirmer ou infirmer ces assertions qui s'avèreront de toute façon embarrassantes pour l'image du tantrisme bouddhique en France s'il se confirme que cet auteur a contribué à des persécutions dans la minorité maçonnique, voire à des déportations de Juifs qui étaient en son sein (on parle parfois d'un millier de déportations). Nous avons retrouvé plusieurs confirmations de ces assertions sur des pages et sites Web consacrées à l'histoire de la franc-maçonnerie durant la guerre de 1939-45. En voici un exemple : "En 1943, le film « Forces occultes » sort sur les écrans. Le scénario de ce moyen-métrage de cinquante minutes a été réalisé par deux ex-frère : Jean Marquès-Rivière et Jean Mamy (sous le pseudonyme de Paul Riche). Ces hommes se sont tournés du côté des nazis dès 1941 et se sont dépensés sans compter pour éliminer toute résistance au régime de Vichy. Marquès-Rivière fuit la France dès la fin de la guerre sentant que ses positions ne lui éviteraient pas la peine capitale. En effet, il fut condamné à mort par contumace."
On peut lire aussi les autres articles en français du riche portail de Victor & Victoria Trimondi.

Voie non sans danger ?
Une page intéressante de présentation du bouddhisme tibétain est signée par Laurent Deshayes, chercheur au CHRIA de l’université de Nantes. Nous en avons extrait une brève citation pour information, qui évoque les risques d'incompréhension et les erreurs d'interprétations dans ces voies. Comme notre citation est nécessairement tronquée, chacun est invité à consulter l'intégralité de cette page Web." [...]Cette voie spirituelle n’est pas sans danger car, en elle-même, elle porte les germes de nombreuses confusions, dont le secret qui la recouvre n’est pas le moindre. Au Tibet, comme ailleurs en Asie, elle connut ses débordements, nés d’une lecture superficielle de son enseignement. Le principe selon lequel bien et mal, vices et vertus sont d’une « unique saveur » peut laisser supposer que toute action est possible. En 1042, lorsque le maître indien Atisha arriva au Tibet, il eut la surprise de découvrir que quelques pratiquants des tantras, coupés des lignées de transmission traditionnelles depuis environ un siècle, avaient pris au pied de la lettre ce que les textes disaient : leur comportement pouvait dépasser l’entendement, le meurtre ou le viol leur était parfois familier. [...]" Copyright Laurent Deshayes-2004.Quatre autres articles du même auteur, documentés et informatifs, sur l'histoire du Tibet sont également disponibles sur le même site.



Le Tibet avant la présence chinoise
Comment était le Tibet d'avant la présence chinoise ? Ce n'était pas le paradis de Shangri-La raconte Michaël Parenti sur cette page qui constitue un véritable réquisitoire historique contre les idées toutes faites sur le pays des neiges.

Controversée ?
Glanée sur le Web cette adresse de discussion sur une organisation d'origine japonaise, établie aussi en Occident, et qui se réclame du bouddhisme. L'intérêt de ces quelques échanges est la confrontation des points de vue entre ceux qui sont extérieurs, ceux qui se situent à l'intérieur et ceux qui en sont partis... Les conclusions d'un chercheur en sciences sociales sont également incluses dans la discussion.Il est loisible de consulter le rapport en ligne de la commission parlementaire d’études sur les sectes par exemple qui cite l'organisation à plusieurs reprises : http://www.assemblee-nationale.fr/rap-enq/r2468.asp.Chacun peut aussi taper le nom de l’organisation dans un moteur de recherche pour accéder à divers contenus, certains favorables d'autres non. Par exemple sur http://www.prevensectes.com/ une page complète de liens, comportant des témoignages, est disponible et peut être consulté pour se faire une idée plus informée :http://www.prevensectes.com/soka.htmPar exemple en ouvrant un de ces liens on trouve cette page avec les expériences d’anciens adeptes : http://www.prevensectes.com/soka1.htm#1Vous pourrez aussi consulter l’article de Gilles Debernardi dans le Dauphiné Libéré : http://www.prevensectes.com/soka8.htm qui avait irrité l’organisation au point qu’une action en diffamation avait été entreprise contre le journaliste. La demanderesse a été condamnée à 15000 F au civil en 2001 et vous pourrez lire également le jugement qui est disponible en ligne avec l'article :http://www.prevensectes.com/soka10.htm

Un autre mouvement parfois controversé
Précision : l'AOBO est la branche francaise du FWBO, qualifié de secte par certains :http://pema.free.fr/fwbo.php3http://www.ex-cult.org/fwbo/fwbofiles.htmhttp://www.lioncity.net/buddhism/index.php?showtopic=2619


Et encore quelques autres :
Ce site se propose de présenter quelques "mouvements contestés dans le bouddhisme".Ne manquez pas l'entretien sans langue de bois avec le Gyalwang Drukchen dont le lien est donné sur le site ci-dessus.

Henry Chia (Ngawang Geleg) et son utile vigie de mouvements controversés
http://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/contestes.html


Autre tradition contestée
Se réclamant éventuellement du Nyigmapa : http://www.aroter.org/ Quelques liens mettant en cause cette tradition controversée :http://www.lioncity.net/buddhism/index.php?showtopic=7046&pid=94347&mode=threaded&show=&st=&#entry94347http://groups.google.fr/group/alt.religion.buddhism.tibetan/browse_thread/thread/f84298085ad04853/a2729f4b309b54ad?lnk=st&q=ARO+gter&rnum=1&hl=fr#a2729f4b309b54ad
Je suis allé sur le site principal de l’organisation. Les "lamas"y apparaissent en photo sur la page qui leur est consacrée, il s'agit apparemment d'Occidentaux drapés dans des vêtements colorés et en somme plutôt pittoresques. Cependant leur site existe déjà en plusieurs langues dont le français ce qui signifie que probablement cette initiative comporte une stratégie de développement à l'international.En explorant la discussion sur un des liens critiques je suis tombé sur cette autre organisation dont le nom sonne un peu comme un oxymoron, ou à tout le moins comme un paradoxe : le celtic buddhism.Le bouddhisme celtique... Cet intitulé laisse rêveur...


Dorjé Shukden
Le forum Sangha Rimé publie cet intéressant fil de discussion consacré à l'expérience vécue d'une personne qui a été en contact avec le nouveau mouvement religieux (n.m.r.) qui vénère Dordjé Shukden :http://sangharime.com/viewtopic.php?t=380&highlight=
en anglais sur le même sujet tout un fil de discussion passionnant :http://www.lioncity.net/buddhism/index.php?showtopic=147
Il ne s'agit pas d'un simple post avec ce lien mais d'un fil de discussion très étoffé, doté de nombreux liens renvoyant vers des documents source, essentiels pour comprendre le développement de l'affaire Shukden au sein de l'école Gelugpa. A explorer en prenant son temps, car il y a un assez riche matériau de lecture.
L'affaire du meurtre de Lobsang Gyatso et de 2 autres moines du Dalaï lama expliquée avec beaucoup de détails et resituée dans l'histoire du Tibet en exil. (Document en anglais)http://www.legalaffairs.org/issues/May-June-2003/feature_kerasote_mayjun03.msp

Deux autres sites de critique positive à consulter : http://www.monde-solidaire.org/spip/forum.php3?id_article=652&id_forum=4613&retour=article.php3%3Fid_article%3D652 http://www.geocities.com/Athens/8063/index.html
Quant à ce dernier site il comporte un utile annuaire des centres bouddhistes bien détaillé m'a-t-il semblé et surtout des notices intéressantes du webmestre, souvent brillantes, impertinentes et amusantes (le sommaire, les articles).
Récemment ce site nous a été à nouveau conseillé, en particulier pour la pertinence de ces analyses concernant Kagyu Ling et l'image controversée d'un de ses lamas...
La référence à Introvigne et sa citation à la fin du sommaire m'ont surpris et gêné, car le personnage est aujourd'hui si controversé avec ce que la presse a appelé des "liaisons dangereuses". A cause de cette référence conclusive qui me laisse sur une impression ambiguë, j'émets donc une réserve (appelons cela principe de précaution) pour ce lien.

Le site reste passionnant pour son développement sur le tristement célèbre château des soleils. Les récits que j'en avais lus sur Internet étaient d'ailleurs plus sévères que dans le compte-rendu fait dans cet article. Cela n'a-t-il pas valu à Orgyen Kunzang Chöling de figurer dans la liste des groupes épinglés par le rapport parlementaire dit "sur les sectes" de 96 ? L'organisation y figurait d'ailleurs parmi quelques autres "écoles" bouddhistes. J'en avais compté rapidement 6 qu'on pouvait aisément identifier comme se réclamant du bouddhisme (sur environ cent cinquante répertoriés si mes souvenirs sont bons). Je crois qu'en Belgique aussi l'affaire a fait un certain bruit. Elle s'est éteinte parce que la personne qui était l'objet de cette enquête s'est éteinte et, avec elle, l'essentiel des poursuites. J'avais même lu que l'équipe d'inspection du pensionnat provençal, se serait émue de la présence d'une chambre capitonné et insonorisée, munie d'une sorte de couchette. Des enfants en pension auraient-ils été invités à recevoir des massages de la part du "maître" ? Que ces éventuels massages eussent été tantriques, vous le comprendrez, n'aurait pas réellement rassuré les inspecteurs et le juge des enfants. Mais je livre ces quelques anecdotes en italique sans avoir pu vérifier leur véracité, telle que je les ai lues rapportées sur le Web il y a longtemps déjà, et j'espère qu'aucune erreur ne s'y est glissée. En tout état de cause les procès verbaux de la justice belge (cour d'appel de Bruxelles) portent encore la trace de cette affaire : "OKC a des démêlés avec la justice. Le gourou de la secte, Robert S. a été inculpé pour attentat à la pudeur fin août 1997. A l'âge de 14 ans, une plaignante dit avoir subi ses assauts sous prétexte d'échange d'énergie spirituelle."Le site prevensectes, toujours bien informé donne plus d'informations : " Pour rappel, Robert Spatz était apparu à la «une» de l'actualité en mai 1997, lors d'une série de perquisitions spectaculaires à son domicile et aux sièges de la secte, tant à Bruxelles qu'à Castellane (Alpes-de-Haute-Provence). Le dossier, au départ financier et fiscal, s'était élargi à l'été 1997 : un mandat d'arrêt avait alors été délivré à son encontre pour des faits qualifiés de viol avec la circonstance aggravante de l'autorité exercée sur la victime, et attentat à la pudeur sur mineur de moins de 16 ans. "Le même Robert Spatz s'était également montré généreux envers la cause du dalaï lama puisque il avait contribué à financer sa venue à Paris comme l'indique ce document toujours disponible en ligne:"D’autres transferts se font sur un compte ouvert au nom de M. Robert Spatz, qui n’y touche jamais ; il est alimenté par deux membres de la communauté qui travaillent aux Communautés européennes (ils versent 200 000 à 250 000 francs par mois). Ces sommes servent exclusivement à faire certaines dépenses relativement importantes en rapport avec le Tibet. C’est ce qu’on appelle les dépenses tibétaines.Il y a eu une intervention financière lorsque le Dalaï Lama est venu à Paris, des interventions pour le Fonds d’entraide bouddhiste en France, une intervention financière aussi dans les éditions Padmakara qui sont une maison d’édition assez importante en France, qui publient des ouvrages bouddhistes."L'argent n'a pas d'odeur.

Journal intime (avec des notations sur le mouvement présenté ci-dessus)
Cette personne a fréquenté une branche de ce nouveau mouvement religieux controversé du bouddhisme ci-dessus (blog pour les 16 ans et plus, le ton en est très libre).
http://longuesjambes1.skynetblogs.be/
Histoire : les Fougères 25-08-2005, 12:38:22Histoire : le père de ma fille 26-08-2005, 15:06:33 Histoire : le très grand-français-au très-grand-nez 27-08-2005, 19:56:15Histoire : le gourou 29-08-2005, 13:48:55 (Extrait ci-dessous)Histoire : Beauregard 03-10-2005, 13:17:23Histoire : le kidnapping (suite ) 04-10-2005 12:27:47Histoire : Beauregard (suite ) 10-10-2005, 10:59:27


Contre les dérives
Au Cambodge, un exemple de bouddhisme institutionnalisé, qui tente de lutter contre les dérives (réelles) : http://www.khmer-network.com/content/view/227/2/

Le Zen en guerre
Voici un lien que je mettrai aussi en RESSOURCES :http://www.zen-occidental.net/nishijima/gudo3.htmlVoici un bref extrait de cet article ci-dessus au titre d'illustration pour l'exemple :"Si on vous ordonne de marcher : une, deux, une, deux! ou de tirer : bang, bang! C'est là la manifestation de la plus haute sagesse de l'éveil. L'unité du Zen et de la guerre […] se propage jusqu'aux confins de la guerre sainte qui est maintenant en cours." (Harada Daiun Sogaku, 1939)"Les guerriers qui sacrifient leur vie pour l'empereur ne mourront pas. Ils vivront éternellement. En vérité, on devrait les appeler des dieux et des bouddhas pour qui il n'y a ni vie ni mort. Là où il y a loyauté absolue, il n'y a ni vie ni mort." (Lieutenant-colonel Sugimoto Goro)"Depuis l'ère Meiji, notre école [Sôtô] a coopéré à la conduite de la guerre." (Déclaration de Repentance de l'école Sôtô, 1992)La publication du livre de Brian Victoria, Zen at War (New-York, Weatherhill, 1997), publié en français sous le titre Le Zen en guerre 1868-1945 (Paris, Le Seuil, 2001), révélant la collusion des églises bouddhiques avec l'appareil militariste et nationaliste japonais depuis l'ère Meiji jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale a suscité de nombreuses réactions dans les milieux bouddhistes occidentaux."


La lutte entre les deux prétendants au trône de karmapa
Comme nous sommes dans la rubrique ressources et liens utiles, je vous suggère de découvrir ce site que beaucoup connaissent sans doute déjà s'ils lisent l'anglais : http://karmapa-issue.org/ Il ne s'agit pas d'une présentation neutre de ces questions, mais militante. Et chacun découvrira aisément l'orientation du site à la lecture de ses pages. En revanche les auteurs qui publient sur le site connaissent très bien leur lignage et son histoire, même s'ils ne sont pas exempts d'un point de vue. Il s'agit de la branche du lignage Karma Kagyu dont le "karmapa" n'a pas été agréé par Sa Sainteté le dalaï lama.Le site présente d'ailleurs longuement et avec enthousiasme un livre en anglais qui devrait sortir en novembre prochain (2005) et qui est favorable à ses thèses : "Buddha's Not Smiling : Uncovering Corruption at the Heart of Tibetan Buddhism Today" par Erik D. Curren, [Alaya Press, broché, $19.95. ISBN: 0-9772253-0-5. Date de parution prévue: 15 novembre 2005]. Le titre dramatique annonce la couleur et atteste surtout que l'époque du ton consensuel du bouddhisme d'Hollywood est révolu ! Ce titre qui signifie quand même : "le bouddha ne sourit pas : une découverte de la corruption au coeur du bouddhisme tibétain aujourd'hui" (sic) semble à sa manière annoncer que ses sympathisants en Occident s'apprêtent à envisager dans les années 2000 des ombres au bouddhisme des neiges après avoir frissonné de désir pour "Shangrila" pendant les années 80. La longue revue libre du livre publiée par le site karmapa-issue est intéressante car détaillée, et on devra cependant interroger avec beaucoup de prudence, de circonspection et de discernement les éléments les plus spectaculaires qu'elle affirme. Même si nous ne connaissons pas précisément les faits évoqués dans ce déballage, il nous a semblé que certaines anecdotes rapportées ou suppositions égrenées ici ou là dans la note de lecture étaient assez surprenantes (pour ne pas dire peu vraisemblables ?). Rappelons que le fait que nous informions ici objectivement les visiteurs du forum de l'existence de ces liens ne vaut pas satisfecit quant à leur contenu ! Ce sera à chaque visiteur de se frayer un chemin dans cette jungle luxuriante d'affirmations avec la machette de son indispensable esprit critique.

Les Occidentaux en quête de voyage spirituel à Dharamsala et la commercialisation du bouddhisme tibétain
Spirituality on Sale in India's Little Lhassa. Special Contribution. By Manpreet Singh.Cet article en anglais du Seoul Times on line est un excellent papier en effet, avec un ton délicatement persifleur.http://theseoultimes.com/ST/?url=/ST/db/read.php?idx=776Merci à Mi. de nous avoir communiqué le lien.Extrait : " Foreign tourists with freshly tonsured heads (some in newly acquired maroon Buddhist robes) make a beeline to attend philosophy and meditation classes. Squatting in the dimly-lit incense-smoked rooms, and struggling to chant in Tibetan language some ‘mantras' after the Lama's voice—is the scene they love to be in. [...]The other private spirituality-shops that have mushroomed all over the town seek to rake moolah, religiously. Spiritual healers, Yoga and Reiki masters have also joined the bandwagon, lured by lucre. "

Plus réjouissant, sur le canon des textes en langue pali
C'est vrai, il faut bien revenir aux textes les plus anciens, c'est à dire au canon en langue pali, pour se faire une idée de l'enseignement du bouddha le plus proche de ses racines. Le pali est dit-on une langue qui est restée proche du dialecte magadhi. Ce dernier était parlé dans la région de Magadha, au Nord de l'Inde où circulaient le bouddha et ses moines. On suppose que le bouddha s'exprimait sans doute en magadhi. Le corpus bien préservé des textes en pali est donc une bonne idée pour revenir aux sources du bouddhisme (sans les altérations ultérieures des textes en chinois par exemple) :
http://www.canonpali.org/
Il vous faudra lire l'anglais pour profiter de tous les textes présentés sur le premier des deux sites.


Un livre en ligne, une autobiographie signée Dhamma Sami.
Cet enfant du siècle né en Suisse se découvre en recherche spirituelle. Son itinéraire est ainsi pittoresque et riche d'expériences, y compris celle de ses premiers pas dans la vie avec des soirées "dance". Dhamma Sami se raconte volontiers. A un âge juvénile le futur moine allait en discothèque affublé de vêtements branchés, qu'il choisissait pour leur capacité à réfléchir la lumière noire des « spotlights ». Ainsi paré il bougeait de longues heures sur la « dance music ». Ce livrel (on dit aussi un blook) atteste de la relative difficulté à trouver en Occident un instructeur authentique pour la pratique du bouddhisme :"[L'ouvrage] retrace le parcours de l'auteur, au sein de diverses formes de bouddhisme présent en occident, pour constater qu'il est difficile de trouver ici de vrais instructeurs qualifiés et vertueux. "
http://www.dhammadana.org/livres/itineraire.htm
Le contraste des vocations est saisissant entre l'Europe et l'Asie, elles sont donc plus tardives et résultent d'aspirations contradictoires en Europe. On le constate quand on songe par exemple que dès l'âge de seize ans le jeune Népalais Ram Bahadur Bomjon (appelé aussi parfois le "little buddha" du Népal) méditait en 2006 plus de douze heures par jour, assis sous un arbre dans la forêt.
Sur le même site dhammadana, une page qui montre que certains autres moines sont un peu parasites dans leur propre système
http://www.dhammadana.org/livres/itineraire/121.htm



Forest meditation
Parmi sa sélection de sites sur les moines de la forêt (à droite dans la marge de son forum) ci-dessus) j'ai trouvé des liens intéressants :http://www.forestmeditation.net/http://www.mettaforest.org/Ce dernier lien est vers un joli monastère américain (Californie) inspiré de l'expérience thaï forest meditation : the metta monastery.


THAÏLANDE “Loft Story” version pagode
http://www.courrierinternational.com/gabarits/asie_online.asp?ord_id=42
Les candidats d’une émission de télé réalité partagent pendant trois mois le quotidien des bonzes. Le vainqueur sera celui qui aura su être le plus gentil. Cette information est atypique, très curieuse et intéressante.


L'incontournable site de Christian Pose :http://linked222.free.fr/cp/index_nibonze.html
C'est vraiment un témoignage exceptionnel d'un Occidental qui a fait la démarche de vivre en moine et de découvrir de l'intérieur le traitement réservé aux humbles et aux pauvres.On peut commencer par la fulgurante biographie de l'auteur, Christian Pose, "qui suis-je ?" sur son site : "ni bonze, ni laïc" . Dans cette page intitulée "qui suis-je ?"Christian Pose explique son parcours en Inde et étaye ses observations sévères du milieu lamaïste traditionnel (que Christian découvre en exil) d'une très remarquable bibliographie universitaire souvent d'origine états-unienne.Afin de vous donner une idée du ton, et vous inviter à cliquer le lien ci-dessus qui ouvre cette biographie, voici un bref extrait de cette page Web :" La dette économique sera héréditaire pour les paysans insolvables, et la dette karmique liera le père et le fils sans terre et sans toit, aux seigneurs, aux moine lama ou aux fonctionnaires du gouvernement. Des seigneurs auront le droit de mutiler les insoumis et des maîtres bouddhistes de hauts rangs (des rinpoché) se reconnaîtront le droit de se divertir avec des "sex-toy", des enfants partenaires passifs "homosexualisés", les "drombo". Biblio sociale : "The Struggle for Modern Tibet : The Autobiography of Tashi Tsering", Tashi Tsering, né en 1929 ex-danseur (13 ans) de la troupe personnelle du XIIIème Dalaï Lama, quotidiennement fouetté et battu par ses professeurs, échappe au groupe "drombo", réfugié aux USA, diplômé de l'Université de Washington, retourne au Tibet en 1964 pour contribuer à la reconstruction socialiste, est arrêté pour "activités contre-révolutionnaires" durant la Révolution Culturelle en 1967, demeure en prison jusqu'en 1973. Il est aujourd'hui professeur d'anglais à l'Université de Lhassa. Ce livre autobiographique est écrit avec William Siebenschuh, Case English Professor et Melvyn C. Goldstein, Head of Case Western Reserve's anthropology, Cleveland, Ohio, 1997. "
in Christian Pose, "qui suis-je ?", extrait, site "ni bonze ni laïc", 2004.


Et c'est en parcourant son site que j'ai découvert celui-ci en anglais :TibetMyth. RealityThe other side.De nombreux articles de fond sur l'envers du décor tibétain, les ombres du bouddhisme tantrique himalayen et la propagande lamaïste aux Etats-Unis.J'ai trouvé le ton parfois très incisif, voire orienté. Mais c'est un ensemble de ressources tout à fait passionnant avec par exemple les articles de Grain, un auteur de nationalité américaine appartenant par son origine à une autre minorité ethnique en Chine (Mongole) que la minorité tibétaine. Cet angle lui permet de regarder avec pénétration et sans langue de bois les stratégies de présentation du bouddhisme tibétain en Occident.On pourra commencer la découverte de cette riche anthologie de textes en anglais, par... le premier article, signé par l'excellent Foster Stockwell, (qui a grandi comme fils de missionnaires à Chengdu, près du Tibet et connaît la Chine et le Tibet de l'intérieur), "Myth and reality" dont voici un bref extrait :"From the beginning, the system of selecting Living Buddhas was open to abuse because it was easy for clever members of the monk selection committee to manipulate the objects presented to potential child candidates in order to make sure a particular child was chosen. In the case of the fourth Dalai Lama, the child selected was the great-grandson of the Mongolian chief Altan Khan. He was chosen at a time when the Gelugpa sect badly needed the protection of the Altan Khan's followers because the Gelugpa were being persecuted by the older Tibetan sects, who were jealous of the Yellow sect's rapid growth."En voici un autre bref extrait, plus provocateur encore à la réflexion :"The idea that most Tibetans are unhappy about what has happened in Tibet and want independence from China is a product manufactured in the West and promoted by the dispossessed landlords who fled to India. Indeed, to believe it is true stretches logic to its breaking point. Who really can believe that a million former serfs - more than 90% of the population - are unhappy about having the shackles of serfdom removed? They now care for their own herds and farmland, marry whomever they wish without first getting their landlord's permission, aren't punished for disrespecting these same landlords, own their own homes, attend school, and have relatively modern hospitals, paved roads, airports and modern industries.An objective measure of this progress is found in the population statistics. The Tibetan population has doubled since 1950, and the average Tibetan's life span has risen from 36 years at that time to 65 years at present.Of course some Tibetans are unhappy with their lot, but a little investigation soon shows that they are, for the most part, people from families who lost their landlord privileges. There is plenty of evidence that the former serfs tell a quite different story. "Par Foster Stockwell.


Archives du forum On Nous Cache Tout, à découvrir :
Ce forum de discussion d'on nous cache tout (lien) comporte un fil très intéressant avec un vrai débat informé et contradictoire sur la rencontre du bouddhisme & de l'Occident. Le fil occupe six longues pages, et devient de plus en plus passionnant au fil des feuillets. Les participants illustrent généreusement leurs propos de citations bienvenues et fort instructives, parmi lesquelles j'ai trouvé la page suivante.

Archives du forum Bouddhismes & dépendance, à découvrir :
http://bouddhismes.forumactif.com/
[Note : l'éditeur du présent site a été aussi l'administrateur de ce forum aujourd'hui proposé en archives en ligne] Le forum B&D a récemment archivé en ligne l'intégralité de ses échanges qui comptent une douzaine de fils de discussion, comportant un millier de messages souvent détaillés et documentés, d'une quarantaine de participants, autour des thèmes du bouddhisme et de son éventuelle dimension addictive.


Annuaire du bouddhisme :
Le forum annuaire du bouddhisme, a été récemment refait à neuf. A la lecture, les liens sélectionnés s'avèrent variés et souvent intéressants. Voici les pages dont le lien m'a été amicalement communiqué et qui comportent l'accès à un riche éventail de sites et de publications sur le bouddhisme sur le portail d'annuaire du bouddhisme.Listes, chats, forums, webring sur le bouddhismeE-books (livres en ligne), ressources audio, video sur le bouddhismeRessources classées selon les 4 lignages tibétains Nyingma, Kagyu, Sakya et Guelug

Un fil de discussion de critique positive sur le bouddhisme tibétain y est toujours disponible :
http://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/forum/viewtopic.php?t=67
Le débat s'ouvre dans l'espace francophoneUn fil de discussion en ligne sur ce même forum pose à nouveau de manière claire la question de déviance éventuelle des pratiques :http://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/forum/viewtopic.php?t=293


Toujours sur ce portail :
"Le Mythe de la supériorité morale tibétaine"
Par Tenzin Wangyalhttp://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/tibet_morale.html
Beau texte d'un Tibétain des nouvelles générations, Tenzin Wangyal, ancien élève du Tibetan Children Village, Tenzin vit actuellement aux Etats-Unis. Il fait parti de l'équipe de direction de l'association Students for a Free Tibet.
Je me permets d'en extraire ces quelques brèves citations pour inciter chacun à cliquer le lien :"Bien que l'Occident ait fini par comprendre que le Tibet n'était pas Shangri-La, nous Tibétains avons créé et alimenté le stéréotype d'un peuple moralement supérieur. [...] Maintenant [...] que les gens nous connaissent de façon moins superficielle, il est beaucoup plus difficile de maintenir cette image - après tout, nous sommes aussi humains et faillibles que n'importe qui d'autre.[...] Tous les mythes s'éteignent un jour. Plus tôt nous nous regarderons dans le miroir, le mieux ce sera, car il est préférable de reconnaître un mirage pour ce qu'il est - une illusion d'optique - [...] tout ça pour quelque chose qui n'a jamais existé.En conclusion, nous Tibétains ne sommes pas les barbares que les Chinois ont voulu montrer au reste du monde, nous ne sommes pas plus les bodhisattvas que nous avons parfois prétendu être. [...] La tibétanéité n'est pas synonyme de droiture et de supériorité morale. Tout ce dont vous avez besoin de vous rappeler sont ces mots de Maya Angelou : "Nous sommes plus semblables, mon frère, que nous ne sommes différents"par Tenzin Wangyal (extraits), traduction recueillie sur le site @nnuaire du Bouddhisme.


Autre article essentiel de Tenzin Wangyal, ses quatre vérités
http://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/tibet_verite.html
« Les quatre ignobles vérités du bouddhisme tibétain »Un article de Tenzin Wangyal.(02/01/2006)
L’article a été également été traduit par Sandrine G. est mis à disposition sur leur portail par notre confrère @nnuaire du bouddhisme.
Extrait : « Nombre de nos tulkous (lamas réincarnés) sont capables de faire ce que Siddhartha Gautama (le bouddha historique) était incapable de faire - ils concilient très facilement leurs vies de luxe et de privilèges avec la pauvreté et la souffrance visibles hors des murs de leurs palaces. En fait, beaucoup préfèrent s'isoler eux-mêmes en restant dans leurs cocons confortables. Une fois reconnu, un jeune tulkou hérite d'un labrang, ou domaine, consistant en propriétés, serviteurs et trésor. Il peut gaspiller ces ressources ou bien utiliser son aura religieuse charismatique pour générer une grandeur personnelle et amasser toujours plus de pouvoir mondain. Beaucoup de Tibétains perçoivent les tulkous comme des marchands de bouddhisme tibétain entreprenants, tels ceux qui savent vous convaincre que le diamant que vous tenez dans la main est un morceau de verre, que vous pouvez le jeter, et qui, une fois que vous avez tourné le dos, le ramassent, le nettoient et le mettent dans leur poche. »
Il faut découvrir le texte intégral de l'article : http://www.buddhaline.net/annuairedubouddhisme/tibet_verite.html pour comprendre quelles sont selon l'auteur les quatre principales faiblesses du bouddhisme tibétain.


Sur les noms propres en tibétain
http://solhimal.free.fr/tibet_et_peuples/culture/signification_noms_tibetains.php
" De nombreux noms ont une signification qui dépasse le sens brut du mot et pour les comprendre, ils doivent être replacés dans un contexte social comme Kunkhyab "sauver tous les hommes".L'origine des noms est parfois religieuse : Tenzin "détient la doctrine de la religion" ou Choephel "répandre le Dharma", d'autres sont de bonne augure : Tashi "bonne chance" ou évoquent le souhait de réussite sociale : Chomphel "promotion", Kalsang "vie prospère" ou Phuntsok "prospérité".Des noms sont aussi liés au jour de naissance de l'enfant : c'est ainsi que Nyima est né(e) un dimanche tandis que Dawa, Passang et Pempa sont respectivement nés le lundi, le vendredi et le samedi. Namgang quant à lui est né le dernier jour du mois. '


Sur La buddhamania, l’excellent www.bouddha.ch
http://www.bouddha.ch/budhamania.htm
Le site suisse francophone http://www.bouddha.ch/, intitulé aussi Sâdhana (ne pas confondre avec son homonyme, sadhana.ca qui est dédié à Satya Sai Baba). Une belle page Web qui se lit avec intérêt et plaisir. Juste une brève citation extraite vers la fin de cet article, sur le tantrisme bouddhique (bouddhisme himalayen) :' On pourrait croire que ce " véhicule " convient mieux à une société en quête d'un " fast-food spirituel ", fascinée qu'elle est par ce côté attrayant de " Bouddha building ". Ces vues sont erronées, parmi tant d'autres que notre société occidentale " speedée et compétitive " à outrance se plaît à échafauder et " véhiculer " avec toutes les illusions et désillusions inhérentes. [...]Toutes les divisions, postérieures à l'enseignement du vivant du Bouddha, vont à l'encontre même de l'Esprit réunifiant du Bouddhisme dans le sens où elles suscitent une tentation de suprématie et d'hégémonisme fondés sur une interprétation personnelle de tel ou tel point de doctrine de l'Enseignement du Bouddha. Elles créent la Dualité dans laquelle l'Intolérance peut s'y donner à coeur joie et l'on voit même çà et là, dans diverses ramifications pseudo- et bouddhiques, refleurir les sempiternelles et horribles maximes, telles: "Hors de ... point de salut possible; sans tantrisme, point d'Eveil ...! ". '


Bouddhisme tibétain en France
http://jmdevezeaud.free.fr/Il s'agit d'un mémoire sur L’implantation du Bouddhisme tibétain en France. Un peu convenu et militant, il y a quand même une forme de prosélytisme qui est parfaitement perceptible dans ce mémoire. Ce n'est pas le premier mémoire d'étudiant à l'université sur ces thèmes, je crois en avoir feuilleté un autre, peut-être deux, des mémoires de maîtrise, dont un publié je crois sur Internet. Celui-ci est mieux construit et mieux rédigé que ces mémoires que j'avais déjà feuilletés, sans doute même très correctement écrit, mais il est aussi une sorte d'hagiographie au service d'une école particulière du bouddhisme (le bouddhisme tibétain) et plus précisément d'un réseau de centres aujourd'hui controversé à cause de ses positions en conflit avec sa Sainteté le dalaï lama sur le choix du XVIIème karmapa. Je peux comprendre les étudiants qui voudraient faire passer le message de leur conviction et de leur enthousiasme au travers d'un mémoire universitaire. Mais les professeurs à l'université qui acceptent de valider tel quel ce type de mémoire ne vont pas tout à fait au bout de leur travail, car l'étudiant n'y est pas mis au défi d'adopter d'autres points de vue que le sien, de discuter et de débattre de ses idées et de ses choix méthodologiques. Bien sûr pour une thèse de doctorat, un sujet traité ainsi sous un seul angle ne pourrait même pas arriver jusqu'à la soutenance, car le jury est composé de plusieurs professeurs, dont des spécialistes du sujet, et une hagiographie ne pourrait pas, en principe, être soutenue, fort heureusement. Le directeur de recherche rougirait d'infliger le manifeste militant d'un étudiant en lieu et place d'une vraie thèse à un jury d'universitaires.
Peut-on prétendre à l'objectivité, avec le ton impersonnel d'un regard extérieur, tout en étant devenu militant d'un mouvement religieux ? C'est possible, mais difficile, n'est-ce pas ? Cela ne va pas de soi.Quand on se laisse "engloutir" par son objet de recherche, ce qui peut arriver, et ce qui est tout à fait acceptable, il faut le dire honnêtement en prévenir clairement le lecteur, et parler alors par exemple d'immersion totale, d'expérience de découverte participative du milieu étudié. Alors on écrit peut-être plus sincèrement à la première personne, avec le "je" qui indique que c'est bien de notre aventure personnelle qu'il s'agit, et non de vérités scientifiques qu'on énonce...On ne peut pas à la fois être un disciple zélote et accomplir oeuvre universitaire sans cette honnêteté intellectuelle qui consiste à se montrer soi-même et à s'exposer au coeur du processus d'immersion.Apparemment certains veulent jouer sur tous les tableaux : être des disciples obéissants et zélés, faire le mémoire de leur choix, promouvoir l'agenda de cette communauté d'élection au travers de leur mémoire, prétendre que c'est un travail scientifique. Le problème est qu'ils prennent les lecteurs pour plus imbéciles qu'ils ne sont !La première victime, après le lecteur, c'est surtout le bouddhisme qui apparaît ainsi déformé en une sorte de caricature un peu sectaire, presque sans profondeur, dont quelques adeptes trop pressés semblent ici dans cette école, bien fiévreux, bien fébriles pour le justifier, pour le promouvoir et le défendre, alors qu'on ne leur reproche rien, qu'on ne leur dit rien. Ils n'ont rien à craindre. Alors de quoi ont-ils peur ? Ils ne sont pas tranquilles, visiblement. Cela cache-t-il quelque chose ? se dit-on naturellement en feuilletant les pages d'un tel mémoire, et : pourquoi un tel empressement, une telle précipitation ? Auraient-ils quelque chose à vendre ? Si cette doctrine est si sage pourquoi ses adeptes le seraient-il si peu ?Le bouddhisme nous impressionne favorablement et simplement par les qualités des êtres qui l'ont adopté : leur silence, leur douceur, leur gentillesse, leur distance, leur détachement, leur sourire, leur gravité, leur humour, la sagesse de leur exemple, la valeur de leurs actes, etc. pas par une communication institutionnelle, fût-elle estampillée par l'université.Cet étudiant fait fausse route en voulant nous convaincre. Il serait avisé d'impressionner par son silence. Un vendeur de foire faisant la démonstration de la moulinette miracle me serait sympathique, et je m'arrêterais un instant pour l'écouter bonimenter les badauds. Mais le bouddhisme ainsi instrumentalisé, comme un objet de propagande devient quelque chose de sali, de déformé et d'inapproprié. C'est vraiment dommage.En conclusion ce mémoire révèle davantage par ce qu'il ne dit pas mais qu'il trahit en filigrane, que par les banalités des brochures institutionnelles et la langue de bois des drouplas (frais émoulus de la retraite tantrique) dont il est nourri. On peut le lire ainsi avec profit.C'est dommage que l'esprit analytique et la profondeur de la pensée de l'étudiant soient émoussés par l'adhésion communautaire, et que cette dernière empiète sur son projet de recherche et finisse par dévorer tout le mémoire ou presque. Mais il a le mérite d’exister.


Sur le dialogue interreligieux
http://www.scourmont.be/degive/tibet/tibet2.htm
Atypique et remarquable. Ce document est exceptionnel, parce qu'il s'agit d'un travail de fond, de nombreuses années de découverte d'un chrétien ayant fait l'effort de comprendre de l'intérieur je crois une autre religion, et d'autres civilisations situées à l'orient de la sienne. Ce qui paraît évident c'est que dans ce long essai son auteur est vraiment entré dans l'interculturalité, il a payé de sa personne en voyageant, en allant à la rencontre des communautés pratiquant le tantrisme bouddhique, tant en Europe qu'en Inde. Je suppose qu'avant d'abdiquer et de conclure par l'incompatibilité du modèle de non-moi bouddhiste (tibétain) et chrétien, il a dû espérer une découverte spirituelle, il a dû se demander si les Tibétains avaient, eux, la réponse aux questions qu'il ne trouvait pas dans sa propre église. Ce que je trouve admirable c'est le travail qu'il a accompli pour aller à la découverte de l'Orient, l'effort qu'il a consenti, et la mise en perspective des différents milieux, des différentes rencontres. Bref, même si je ne peux pas vraiment parler de ce document, puisque je ne le connais pas suffisamment, il témoigne quand même d'une véritable attitude de rencontre et de dialogue.


Points communs & différences culturelles
http://membres.lycos.fr/cusi/fra/fra0067.htm


La perception du bouddhisme dans le catholicismehttp://www.pitaka.ch/cpe2.htm
Des liens y sont proposés sur le dialogue entre christianisme et bouddhisme : http://www.pitaka.ch/interfaith.htm


Homosexualité et bouddhisme ?
Un nouveau lien venu cette fois de Wikipedia sur "Bouddhisme & Homosexualité" :http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouddhisme_et_homosexualitéLe Gay Zen Buddhist Web Site à Los Angeles a brièvement tenté d'offrir enseignement et pratiques sur la rencontre de l'homosexualité et du bouddhisme Zen :http://members.aol.com/_ht_a/gayzenla/myhomepage/Avec une page brève mais intéressante sur l'homophobie et les milieux du bouddhisme :http://members.aol.com/_ht_a/gayzenla/myhomepage/homophobia.htm


Sexualités bouddhiques
Et pour ceux d'entre nous qui ne l'auraient pas encore lu, il y a bien entendu le désormais classique : Sexualités Bouddhiques de Bernard Faure (Professeur d'histoire des religions à l'université Stanford). Dont voici le résumé.


Buddhanalyse
Le très beau site de Guillaume Lébène sur le bouddhisme & la psychanalyse (freudienne et jungienne) s'appelle bouddhanalyse. On y découvre des synthèses intéressantes sur la doctrine de Sakyamuni et une réflexion sur sa rencontre de l'Occident avec la psychologie des profondeurs.


Les relations entre bouddhisme ésotérique et kata des arts martiaux
http://www.cybersurvey.com/kata.htm
Extrait de cette très intéressante page en anglais consacrée - en quelque sorte - au "moving Zen" : " The Abbot gathered his robes and entered the pit in front of the alter and began to perform sweeping hand gestures, chanting all the while. I watched transfixed as the Abbot told a story and painted a spiritual picture with his elegant hand gestures. Then, it hit me like a thunderbolt—the Abbot was doing mawashi uke and several times, pressed his hands, palm out in the same manner as we finish many of our Goju Ryu kata. Then, there was the Abbot’s hands finishing Shisochin—doing Tensho--Seisan. I heard a deep, “Toh” issue from the Abbot—not unlike a kiai, as he circled his hands in this seeming spiritual kata. I sat there shrouded by incense watching for the first time . . . something I had done hundreds or thousands of times . . . on the dojo floor. This very powerful experience motivated me and launched me into a study of the relationship between kata and . . . ceremonial worship and thus, the relationship between the purpose or intent of karate-do and theosophy or religion. "
Shivaïsme du Cachemire, tantrisme, tantrisme bouddhique et Dzogchen : la vache cosmique
"Elle a quatre pattes : Le Shivaïsme du Cachemire, la Grande Complétude (Dzogchen), la Vision Sans Tête (Douglas Harding) et la Philosophie Intégrale (Ken Wilber). Avec ses gros et néanmoins agiles sabots, elle parcourt les mondes d'ici et d'ailleurs. Sur ce blog, vous trouverez à la fois des anecdotes personnelles sur la spiritualité en général, et plus particulièrement des réflexions sur la Reconnaissance (pratyabhijnâ), philosophie née au Xème siècle au Cachemire." (Arnagala)Le très riche blog d'Arnagala nous invite à une exploration à la fois sincère, intérieure et intelligente, qui sait mettre en relation ces diverses expressions traditionnelles, et en révéler les petits incidents critiques comme les vraies lignes de fracture. Ce journal souvent mis à jour est une mine à explorer. La nouvelle police noire sur fond blanc est très lisible et la présentation améliorée récemment économisera vos yeux ! Après avoir lu la page d'accueil et ses messages récents, il faut piocher, avec délice, dans les thèmes des posts archivés indiqués en marge de droite.
La vache cosmique http://shivaisme-du-cachemire.skynetblogs.be/


http://shantideva.net/ Shantidevaonline (Ven. Dharmakara. The Shantideva Society)
Establishing a culture of peace and non-violence through the bodhisattva ideal
“Providing not only a documented history, but also an anchoring point in the development of Buddhism, there were two different individuals within the Samatata territory of southeastern Bangladesh who were named "Shantideva" and both would leave their mark on Buddhism as it was practiced in the region.
The first to be mentioned in Bengal history, the "Acharya Shantideva" of Chan Ssu tradition, is the founder of the Avaivartika Sangha at Ashrama-Vihara in the 6th century and, as such, he should be considered the author of the Bodhicaryavatara in it's original composition of nine chapters, while his namesake, the later Shantideva who is identified as having been a student at the university of Nalanda in the 8th century, could only have expounded on the Bodhisattva ideal from the understanding of his predecessor and, as such, he should be considered the author of the post-dedication which would eventually become the tenth chapter of the Bodhicaryavatara.
In his soon to be published book, "The Kingdom of the Bodhisattvas", the Ven. Dharmakara (webmaster of http://shantideva.net/) reconstructs history of the Deva dynasty from authenticated sources and years of personal research, painting a very vivid picture of their capital at Devaparvata (Skt., the mountain of the gods) [in southeastern Bangladesh] and it's commanding view of the mountains of Tripura.”
(Our heartfelt appreciation goes to Ven. Dharmakara who gave us permission to publish an excerpt of the main page of the Shantideva.net web portal. Une traduction automatique en français Babelfish est également disponible en ligne).

http://www.angrymonkthefilm.ch/
Angry Monk, reflections on Tibet (a film
by Luc Shaedler)
Un road-movie et un voyage sur le les traces du moine rebelle Gendun Choephel.
« Gendun Choephel, moine mutin […] quitte les ordres en 1934 à la recherche de nouvelles aventures. Un esprit libre et cultivé, précurseur de son temps, devenu modèle et espoir de toute une génération pour un Tibet libre. Un rebelle et un ardent critique de l’establishment qui donna du fil à retordre et échauffa les esprits des autorités tibétaines. »

Quelques extraits des citations du moine tibétain Guendun Choepel glanées sur ce site. Le moine décrit ici le Tibet féodal et lamaïste d'avant la présence chinoise :

« Au Tibet - tout ce qui est ancien et traditionnel, c’est l’œuvre de Bouddha. Tout ce qui est nouveau : L’œuvre du diable. C’est la triste tradition de mon pays »

« Les pauvres, aussi peu puissent-ils avoir, sont saignés aux quatre veines. »

« Jadis, on pensait aussi en Europe que le monde était plat. Ceux qui affirmaient le contraire, prenaient le risque d’être brûlés vivants. Aujourd’hui, personne ne doute plus, même dans les pays bouddhistes que la terre soit ronde. Au Tibet, on est les seuls à toujours affirmer que la terre est plate. »
(Merci à Mi. qui nous a communiqué ce lien.)

Florilège in English sur http://bouddhismes.info/ Une page "Florilège" en anglais rend compte de la discussion qui s'est engagée Outre Manche et Outre Atlantique depuis plusieurs années déjà sur l'Internet. On pourra utilement découvrir quelques brefs extraits en anglais et les liens vers leurs pages Web respectives. Dans le menu du site, en haut de page, choisir Florilège ou cliquer sur le lien ci-après pour y accéder directement : http://bouddhismes.info/19.html
Nous avons repris l’essentiel de ces liens dans les pages suivantes.







SELECTION DE LIENS ANGLOPHONES
& BREVES CITATIONS DE LEURS AUTEURS



Pour aller plus loin, voici un florilège de contributions découvertes sur le Web anglophone à travers quelques brèves citations d’auteurs. La vitalité de la pensée critique sur le bouddhisme du web anglophone y apparaît clairement.



Christopher Hitchens, His Material Highness, July 13, 1998
http://www.elevenshadows.com/tibet/hismaterialhighness.htm
“The Dalai Lama has come out in support of the thermonuclear tests recently conducted by the Indian state, and has done so in the very language of the chauvinist parties who now control that state's affairs. The "developed" countries, he says, must realize that India is a major contender and should not concern themselves with its internal affairs. This is a perfectly realpolitik statement, so crass and banal and opportunist that it would not deserve any comment if it came from another source.
[…] Shoko Asahara, leader of the Supreme Truth cult in Japan and spreader of sarin nerve gas on the Tokyo subway, donated 45 million rupees, or about 170 million yen (about $1.2 million), to the Dalai Lama and was rewarded for his efforts by several high-level meetings with the divine one. »


Victor & Victoria Trimondi, The shadow of the dalai lama, Kalachakra initiation. What happens to the woman? http://www.trimondi.de/
“Once the yogi has “stolen” her gynergy using sexual magic techniques, the woman vanishes from the tantric scenario. “The feminine partner”, writes David Snellgrove, “known as the Wisdom-Maiden [prajna] and supposedly embodying this great perfection of wisdom, is in effect used as a means to an end, which is experienced by the yogi himself. Moreover, once he has mastered the requisite yoga techniques he has no need of a feminine partner, for the whole process is re-enacted within his own body. Thus despite the eulogies of women in these tantras and her high symbolic status , the whole theory and practice is given for the benefit of males” (Snellgrove, 1987, vol. 1, p. 287).
[…]
More on this topic : http://portland.indymedia.org/en/2003/12/277073.shtml


June Campbell, TRAVELLER IN SPACE: IN SEARCH OF FEMALE IDENTITY IN TIBETAN BUDDHISM, Chapter 6 At One with the Secret Other
http://www.leavingsiddhayoga.net/emperors.htm
Présentation from The Independent, 10. February 1999 :
For years June Campbell was the`consort`of a senior Tibetan Buddhist monk [Kalu Rinpoché]. She was threatened with death if she broke her vow of secrecy. But then enlightenment can be like that.
Feet of clay? No, it was a different part of the anatomy - and of all too fleshly substance - which caused the trouble. But, I suppose, you don`t expect Tantric sex to be a straightforward activity. Then again, sex of any kind isn`t really what you`re planning when you become a celibate nun.
It was, said June Campbell as she began her lecture, only the second time she had been asked to give a talk to a Buddhist group in this country since her book Traveller in Space came out three years ago. Small wonder. The topic of her talk was "Dissent in Spiritual Communities", and you don`t get much more potent types of dissent than hers. For she not only revealed that she had for years been the secret sexual consort of one of the most holy monks in Tibetan Buddhism - the tulku (re-incarnated lama), Kalu Rinpoche. She also insisted that the abuse of power at the heart of the relationship exposed a flaw at the very heart of Tibetan Buddhism.

“The imposition of secrecy therefore, in the Tibetan system, when it occurred solely as a means to protect status, and where it was reinforced by threats, was a powerful weapon in keeping women from achieving any kind of integrity in themselves, for it seems clear that the fundamental and ancient principles of Tantric sex -- the meeting together of two autonomous individuals as partners for sexual relations to promote spirituality--was tainted by the power wielded by one partner over the other. So whilst the lineage system viewed these activities as promoting the enlightened state of the lineage-holders, the fate of one of the two main protagonists, the female consort, remained unrecognized, unspoken and unnamed.
[…] It is certainly intriguing to know that despite Kalu Rinpoche's activities with women, and even quite some time after his death, several Tibetan scholars in the west continued to show complete ignorance of the hidden life existing within the lama system. In his study of the history of Tibetan Buddhism, and in particular the difference between married lamas and celibate monks, Geoffrey Samuel wrote in 1993, 'Kalu Rinpoche was a monk, however, not a lay yogin, and most of his career took place in the celibate gompa setting of Pelpung'.[13] Whilst it is true that Kalu Rinpoche spent many of his early years in the monastery of Pelpung in Tibet, it is also true that, after escaping Tibet in 1959 when the Chinese annexed the country, he spent many more as the abbot of a monastery in India, and during many of these years was not a monk, yet was afraid of the consequences of revealing his secret life. »


Avis Sri Jayantha, BUDDHIST FUNDAMENTALISM AND MINORITY IDENTITIES
IN SRI LANKA
http://www.sangam.org/BOOKS/BuddhistFundamentalism.htm
« What is primarily significant, then about contemporary fundamentalistic Buddhists is that, like their late nineteenth predecessors for whom religion and ethnicity were largely conflated, their Buddhism is intimately linked to political ideology… In the present, Buddhism is consciously invoked by politically motivated Sinhalas to advance their own empowerment (usually to the exclusion of other communities) or to rationalize their agendas for actions taken against other communities in post hoc fashion. In the former nineteenth-century instance, the revival of Buddhism contributed to the formation of a new national political consciousness; in the latter instance of the present, Buddhism becomes a powerful trope [figure of speech] for expressing a matured political ideology that may be more appropriately identified as communal (since it is not inclusive enough to be truly national for a multiethnic society). »


Rakesh Chhetri , REVIVALIST DRUKPAS AND FUNDAMENTALISM by Rakesh Chhetri, January 22,1998, Published in Kathmandu Post (Article No 18)
http://www.geocities.com/articlesonbhutan/revivalist.htm
“Bhutanese polity is in real crisis as the politics is essentially defined solely for the benefit of Drukpa ethnic group, in stead of solving the vital issues confronting the nation. It would be wrong to imagine that the Bhutanese regime’s insistence on building the Bhutanese nation-state exclusively based on narrow Drukpa Buddhist considerations will achieve a consolidated Bhutanese nationhood. Bhutanese nation-state cannot be built on the contorted historical fallacy of only one ethnic Ngalung group (widely called Drukpa) blinded and deafened by delusions about their chauvinism, while completely ignoring other groups’ contributions in building today’s Bhutan.
Aggressive forms of Buddhism exists in Bhutan, Sri Lanka and Myanmar, today. In Bhutanese context, the role of feudal Buddhism must be understood in a far more complex scenario. The shaky monarchy has meticulously intertwined the feudal institutions with Buddhism so that the existing feudal and autocratic institutions are imbued with a sacred and exalted place in the Bhutanese psyche. »


Tara Carreon , ANOTHER VIEW ON WHETHER TIBETAN BUDDHISM IS WORKING IN THE WEST
http://stevenyang.com/steven-yang-resources.html
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http://www.american-buddha.com/
“A former American convert to Tibetan Buddhism for over 20 years speaks her mind. Her viewpoint is that, although American Tibetan Buddhists have made the understandable decision to adopt traditional Tibetan Buddhist beliefs because they seem authoritative and reliable, this decision has been a mistake.
At some point, I began to feel that I had been duped, and began to unpack my psychological baggage. I discovered that I was seething with resentment over the years of self-abasement, and humiliated by the fact that I had aided my captors. While this language, and some of the language that I use in my essay below, may seem harsh or accusatory, I believe that I feel about these things just as any other ordinary person would feel after the years of effort turn out to have been invested for no good reason. Additionally, the inner compulsion to perform ritualistic practices in which I had lost faith, and the need to overcome the fear that abandoning these practices would cause me to suffer terrible consequences, has made for many painful days and nights. The process of self-deprogramming has taken me to the edge of despair, and beyond. The truth is that one who delivers their belief into the hands of others risks having to fight to get it back. Having fought that fight, it is my desire to save other people from wasting their time, energy and happiness in what I now view as a bad investment in the realm of faith. I would suggest that sincere spiritual seekers return to themselves and appreciate the good aspects of our own Western culture in order to achieve spiritual satisfaction. »



Julian Gearing, Tibetan Buddhism the Western way
http://www.atimes.com/atimes/China/EL25Ad05.html
”KATHMANDU - If you are a Buddhist you may want to try this, but you would be wise to exercise a degree of caution. Jump from an aircraft at 12,000 feet and adopt the Lotus position. Make sure you have a parachute on. Be aware, though, that when you sit in this meditation pose, you fall much faster than normal spread-eagled skydivers. Lama Ole Nydahl had a parachute on when he decided to jump and "sit" - a position suggested to him by his parachuting instructor. The Danish Buddhist guru is no stranger to dropping from the sky. This was his 88th jump. But caught up in the "wonderful experience", he failed to take full account of the increased velocity of plummeting to Earth "Buddha-like". Lama Ole, as he is known, teaches his students of Diamond Way Buddhism how to prepare for death. On this sunny day in July in Germany he narrowly avoided having to put his teachings of "conscious dying" into practice. Realizing that he was about to hit the ground, he pulled his emergency ripcord. His 'chute partially slowed his descent as his body smashed on to a concrete landing site. From his hospital bed, the broken and bruised 63-year-old Buddhism teacher explained that people could obviously imagine how attractive the idea of sitting during free-fall parachuting sounds to a Buddhist lama. But he admitted the accident was his own fault. He was "due for some essential teachings on sickness and pain", he said, and that he hoped this would increase his "maturity as a teacher". Now he is up walking and teaching again. »


Dzongsar Khyentse Rinpoche, TIBETAN BUDDHISM IN THE WEST
http://www.siddharthasintent.org/Pubs/West.htm
“Instead of making the teachings accessible, some Tibetan lamas have created a huge divide with Westerners through a combination of their superiority complex, their fundamental lack of respect towards Westerners and an inadequate interest in Western thinking.
[…] It is true that Tibetans think that Westerners shop for Dharma, and they can't keep the tantric teachings secret ; but are they to blame if the lamas themselves turned the Dharma into a travelling show, including performances such as the sand mandala and the lama dances ? It would be better if we could discover all these downfalls of the Tibetans sooner rather than later. Because otherwise, we might become disillusioned, and that might be a reason for giving up the Dharma. But detecting these downfalls is no easy task. Generations of experience in being hypocritical have left lamas rather subtle and sophisticated. One example is how many Westerners fall for the almost annoying theatre of the lamas' humility, little seeing that behind the curtain is a fierce fight for who gets the highest throne. This maneuvering becomes especially dramatic when the occasion involves a large crowd, and even more so, if there are potential big donors present, especially those from Taiwan, who seem to judge the value of lamas solely by their rank, or how many letters "H" precede their names. »


Stephen Batchelor, a chapter in Ursula King (ed.). Faith and Praxis in a Postmodern Age. London: Cassell, 1998. It was first delivered as a paper at a conference celebrating the thirtieth anniversary of the Department of Theology and Religious Studies at the University of Bristol.
http://www.fishpond.co.nz/Books/Religion/Christianity/Evangelism/product_info.php?products_id=556511
« So might we discern a trend in Buddhism of moving away from dependence on organized religious institutions towards a more individuated form of practice, in which each person finds his or her own way within the dharmadhatu: the ‘Dharma realm’? A way of life that subverts the traditional legitimating myth of ‘path’ with a myth of recovered wilderness? After centuries in premodern societies, Buddhism finds itself abruptly catapaulted into postmodern societies, where even its central metaphor of ‘path’ is questionable.
[…] Today the force of the term ‘agnosticism’ has been lost. It has come to legitimate an avoidance of the existential questions posed by birth and death. Just as the modern agnostic tradition has tended to lose its confidence and lapse into scepticism, so has Buddhism tended to lose its critical edge and lapse into religiosity.
[…] The danger is that, for the sake of appearing ‘relevant,’ they sacrifice the equally vital need to retain a lucid, critical perspective. »



Isabel Hilton on Mick Brown, The Dance of 17 Lives: the incredible true story of Tibet's 17th Karmapa, Bloomsbury, 304pp, £16.99 ISBN 0747571619 (review) http://www.newstatesman.com/200405170048
“Shamarpa had been in trouble before. In the 18th century, the 10th Shamarpa accompanied his brother, the 6th Panchen Lama, to Beijing, where the Panchen died of smallpox. The emperor made a generous gift of gold coins to the dead man's family. As the funeral cortege wound its way back to Tibet, the Shamarpa quarrelled over the treasure and then fled to Nepal, where he incited the king to send his army to invade Tibet. The Tibetans had to call for the assistance of Chinese imperial troops and the then Dalai Lama, incensed by Shamarpa's behaviour, forbade his reincarnation and buried his crown under the courthouse steps in Lhasa - which, for a Karma Kagyu lama, is about as bad as it can get.
It was nearly 200 years later that the 14th Dalai Lama was prevailed upon to lift the ban and the present incarnation was recognised formally. To his opponents, Shamarpa is as greedy and ambitious in the 21st century as he was in the 18th. Then he turned to Nepal for support; today, he relies largely on foreign devotees, some of whom have taken up his cause with a militancy seldom seen outside Trotskyite cells. »



Geoffrey Samuel (1995), The dissenting tradition of Indian tantra
http://users.hunterlink.net.au/~mbbgbs/Geoffrey/saag95.html
“Another important point is the extensive overlap between the siddhas and Saivite practitioners of the Kapalika variety (cf. Lorenzen 1972). Several major siddhas (e.g. Kanha = Krsnacarya) are important in both Buddhist and Saivite (Nath, etc) teaching and initiation lineages. It is now clear that this goes beyond the Bhairava-like nature of fierce Tantric Buddhist deities to actual sharing of deities and texts (e.g Mahakala; cf. Samuel 1993: 422) and to substantial textual borrowings from Hindu Tantric scriptures being incorporated into central Vajrayana Buddhist Tantric texts (Sanderson 1991).
This leads on to another issue, the "shamanic" aspect of Vajrayana practice in India. [3] The assumption of divine identity through ritual is a critical part of the Vajrayana, and the implication is that it confers divine power on the practitioner. This divine power is the basis of the siddha's magical ability, and there are indications that some siddhas at some periods at least made a living as itinerant magical practitioners, travelling sorcerors one could say - sections of major Tantric texts such as the Hevajra consist of collections of spells to be used for various purposes, to defeat an enemy army, compel a woman's love, and the like. »


Anh Do & Teri Sforza http://www.urbandharma.org/bmonk/boymonk3.html
« Punishment for rule-breakers was severe. Each monastery had a disciplinarian called an "iron club" lama, who was responsible for maintaining order. Monks who appeared to nod off during prayers or classes were beaten with wooden prayer beads or switches for what was said to be their own good. It didn't matter if the offending monks were young or old; if they broke the rules, they met the same fate. Kusho cringed as a monk he knew was beaten in front of him for mischievousness; the sights and sounds of it haunted him. He felt terrible for the boy every time he saw him.It was so hard to make friends. He worked hard to fit in and avoid the whip. »
More on this topic http://www.urbandharma.org/bmonk/boymonk3.html
http://www.urbandharma.org/bmonk/boymonk3.html
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Revolutionary Worker #944, February 15, 1998 When the Dalai Lamas Ruled: http://rwor.org/a/firstvol/tibet/tibet1.htm
« The largest monasteries housed thousands of monks. Each "parent" monastery created dozens (even hundreds) of small strongholds scattered through the mountain valleys. For example, the huge Drepung monastery housed 7,000 monks and owned 40,000 people on 185 different estates with 300 pastures. …
Each estate had its own dungeons and torture chambers. …
Monasteries also made up countless religious taxes to rob the people--including taxes on haircuts, on windows, on doorsteps, taxes on newborn children or calves, taxes on babies born with double eyelids...and so on. A quarter of Drepung's income came from interest on money lent to the serf-peasantry. The monasteries also demanded that serfs hand over many young boys to serve as child-monks.
The class relations of Tibet were reproduced inside the monasteries: the majority of monks were slaves and servants to the upper abbots and lived half-starved lives of menial labor, prayer chanting and routine beatings. Upper monks could force poor monks to take their religious exams or perform sexual services. (In the most powerful Tibetan sect, such homosexual sex was considered a sign of holy distance from women.) A small percent of the clergy were nuns.
As signs of the lamas' power, traditional ceremonies used body parts of people who had died: flutes made out of human thigh bones, bowls made out of skulls, drums made from human skin. After the revolution, a rosary was found in the Dalai Lama's palace made from 108 different skulls. »
More on this topic : http://rwor.org/a/firstvol/tibet/tibet2.htm et http://rwor.org/a/firstvol/tibet/tibet3.htm

Richard S. Ehrlich, press correspondant in Asia (currently based in Bangkok) Taipei Times, "Living with communism: Inside Tibet today," Jan. 17 2000, Page 6). http://www.taipeitimes.com/News/archives/2000/01/22/0000021071
Richard S. Ehrlich is from San Francisco, California, and first journeyed to Asia in 1972. Reporting news from across Asia since 1978, his bases have included Hong Kong, New Delhi, and now Bangkok. His coverage has focused on the guerrilla wars in Afghanistan, Kashmir, Punjab, Sri Lanka and Cambodia, as well as the region’s cultures and other events. He received his Master’s degree from Columbia University’s Graduate School of Journalism, and won their 1978 Foreign Correspondents Award.
“ A Tibetan told me: "He stopped being a monk after five years because his monastery's senior lama beat novices with a stick during scripture examinations. Tibetan Buddhist monasteries often mete out such child abuse. During the Dalai Lama's time, before he fled Tibet in 1959, head lamas in his Potala Palace beat errant monks for gambling or other naughty behavior."
If you delve into Tibetan affairs a bit deeper you'll discover Tibetan monks beating their students in monasteries in and out of Tibet is nothing new. “
Richard S. Ehrlich also wrote http://www.escapeartist.com/efam/40/Tibet.html


Shenphen Rinpoché (son of Dudjom rinpoché), meeting Dharmapalas (wrathful protectors) when he was a child
http://www.american-buddha.com/protect.shen.htm
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http://www.american-buddha.com/
“In the daytime, I couldn't play either. My eldest sister would never play with me because I would see these things, and when I would point them out to her, she would see the same things. And my servants, the young men who were looking after me, none of them would take responsibility for me at night. That is how bad it was. …
And the words they spoke weren't words a small kid could understand like, "I love you." Instead they would say, "Give me your heart. I want to eat you," or something like that. Those were their exact words, and I was only five or six years old. I couldn't sleep. I would see their translucent bodies, and they would come and grab me. …
When I would look up I would see this horrible face, and then I'd faint. Most of my childhood was spent in either a fainting or unconscious state. I've always been like that. I had a difficult life as a kid. …
My mother and father would sleep together and put me in the middle between them, and as soon as they fell asleep, someone would shake me. I'm not joking. The protector would shake me so I would wake up, and then I would see on the ceiling this deity with three heads, tongue rolled up, guts hanging out, one hand holding a knife, saying, "Come, come, I want to just cut your neck." …
And later in my life, I didn't understand why they didn't have the wisdom to know I was just a child. »


Michael Parentis, The Tibet Myth http://www.swans.com/library/art9/mparen01.html ”Young Tibetan boys were regularly taken from their families and brought into the monasteries to be trained as monks. Once there, they became bonded for life. Tashì-Tsering, a monk, reports that it was common practice for peasant children to be sexually mistreated in the monasteries. He himself was a victim of repeated childhood rape not long after he was taken into the monastery at age nine. ( Melvyn Goldstein, William Siebenschuh, and Tashì-Tsering, The Struggle for Modern Tibet: The Autobiography of Tashì-Tsering (Armonk, N.Y.: M.E. Sharpe, 1997) The monastic estates also conscripted peasant children for lifelong servitude as domestics, dance performers, and soldiers.”















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